Sidewalk Stories

* Sidewalk Stories

A New York, un jeune noir, artiste de rue, propose aux passants de faire leur portrait. Sans domicile, il a investi le sous-sol d’une maison abandonnée. Un jour, dans la rue, il assiste à l’assassinat d’un homme accompagné d’une fillette de deux ans. L’artiste la recueille et mendie pour la nourrir. 
Certes, le film est en noir et blanc, mais les choses ne sont pas si simples qu’on puisse le dire « muet ». Pendant tout le film – à l’exception d’un moment – les personnages se parlent, mais on ne les entend pas. La musique raconte ce qu’ils disent, et aussi ce qu’ils pensent. Elle dialogue avec les images, épouse les états d’âme, les fous rires, les battements de cœur, les inquiétudes, indique ce que les personnages ne peuvent pas voir. 

“En surface, un petit film romantique, doux, gentil et drôle. avec une petite fille mignonne et un rigolo. 

L’auteur souhaite que lorsque le public verra son film, il finisse par assimiler l’envie de regarder différemment les sans-abri. « Sois le gardien de ton frère » : c’était là le moteur de l’histoire.” Charles Lane.





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